Interventions en hémicycle de Jean-Pierre Brard
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La faute à qui ?
Modeste !
Vous étiez avec lui à l'école militaire !
On vous a connue meilleure !
Et qui est Judas ?
Sarkozy antisocial, c'est un pléonasme !
Madame la ministre, nous sommes là dans une véritable confrontation idéologique. Vous parlez sans cesse de coût du travail et de compétitivité, mais, en réalité, vous obéissez à ceux qui veulent détruire le compromis qui fut conclu dans le cadre du programme du Conseil national de la Résistance (Exclamations sur les bancs du groupe UMP) et qui ...
Pour ce qui est de La Fayette, je ne vois pas ce qu'il vient faire ici, mon cher collègue. En revanche, notre collègue de Courson a pour aïeul Lepeletier de Saint-Fargeau, qui eut le mérite d'être régicide. Pour en revenir à mon propos, les cotisations patronales ne sont pas des charges : les seules charges que je connaisse, ce sont les divide...
Non !
Vous parlez d'Hervé Morin ?
En évoquant les champs de courses, vous voulez parler d'Hervé Morin ?
Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le ministre, mes chers collègues, que de vociférations sur les bancs de la droite ! Mais vocifération ne vaut pas argumentation, et il ne sert à rien de tenter de dissimuler vos compromissions, vos renonciations, vos capitulations, en faisant des génuflexions devant le veau d'or ! Alors que vo...
Écoutez cette phrase d'un homme qui appartient à notre histoire nationale, un homme qui a su dire non quand la plupart des hommes de droite se mettaient à genoux, je veux parler du général de Gaulle, qui déclarait, le 27 mai 1942 (Exclamations sur les bancs du groupe UMP)
Vous êtes relaps par rapport à lui, vous trahissez ses mânes ! Il disait, le 27 mai 1942, que « la démocratie, c'est le gouvernement du peuple exerçant la souveraineté sans entrave ». Quelle plus belle justification du référendum que cette citation du général de Gaulle ? Si, d'aventure, cette motion référendaire n'est pas adoptée, nous allons ...
J'avais demandé la parole !
Madame la présidente, nous venons d'assister en commission des finances à une situation atypique. En effet, alors qu'on y discutait d'un texte très important qui devrait aboutir à la mise en place de ce que l'opinion perçoit comme une TVA dite sociale, les députés UMP étaient absents. Ils sont tellement mal à l'aise, face au rejet par les Franç...
Ce n'est pas le même sujet !
Il est à la peine, faisons preuve de compassion !
Non, de Damas ! C'est la parité, leur chemin de croix !
