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Le palais présidentiel ne serait-il donc pas assez délicat ? Le président ne vous inviterait-il donc pas là où vous le souhaiteriez ? Adressez vos critiques à qui de droit, mon cher collègue, mais pas à moi, qui n'ai les moyens de vous inviter ni au Fouquet's ni à La Tour d'Argent ! Pour vaincre ou, du moins, contourner ces résistances, les pr...
D'autres en ont eu l'idée, mais cela ne leur a pas vraiment réussi
Vous avez un bolchevik parmi vous, vous devriez vous en méfier car il a des références.
Vous voulez éliminer, relativiser le poids des élus pour donner le pouvoir ultime à ceux qui détiennent la finance, le capital, et qui s'enrichissent du travail des salariés. Telle est la réalité. La démocratie vous gêne. Vous répétez en effet à qui ne veut plus l'entendre que l'échelon pertinent du développement est la région et que cette nou...
il est écrit : « Mais, surtout, il est prévu que seules les chambres de commerce et d'industrie de région bénéficient de ces ressources : indéniablement, il s'agit là d'un signe fort en faveur de la régionalisation du réseau des chambres de commerce qui sous-tend l'ensemble du projet de loi. » Le résultat de tout cela sera la marginalisation d...
Sans même évoquer la critique formulée par le président de la CCI des Deux-Sèvres, M. Gérard Lefèvre, que connaît M. Novelli, qui n'est pas un dangereux gauchiste,
et qui s'interrogeait sur la pertinence d'un « management bicéphale » partagé entre les échelons régional et local, j'aimerais insister sur le fait qu'il est totalement invraisemblable de croire qu'un tel système de gestion des ressources humaines puisse durablement fonctionner sans provoquer de tensions permanentes. Nous avons en effet un tri...
car il est habitué à l'effort intellectuel. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
C'est que je suis sans cesse interrompu, monsieur le président. (Rires.)
Avant de terminer sur une remarque plus « proactive », disais-je, je voudrais vous rappeler les propos de notre ancien collègue de la majorité présidentielle, M. Gérard Trémège. Il y a près d'un an, celui-ci résumait ainsi le projet de loi dans les Échos
Il n'est plus là, mais son esprit est toujours présent et il l'a laissé en héritage à ses collègues de l'UMP. Je le cite : « Il s'agit ni plus ni moins que de faire disparaître les chambres consulaires locales, en les faisant absorber par leurs structures régionales car elles n'auraient plus de stratégie, ni de ressources, ni de personnels pro...
et non pas des intérêts particuliers, aussi bien défendus soient-ils par vous-même, monsieur le secrétaire d'État. (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR.)
Notamment !
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Une misère !
Je fais ce rappel au règlement sur le mode « note d'ambiance », puisqu'il semblerait que nous ayons vocation à passer la journée ensemble Dans ce débat, vous êtes, madame la ministre de l'économie, d'une urbanité parfaite et d'une courtoisie qui ne l'est pas moins, et nous utilisons les mêmes mots. Pourtant, j'ai l'impression que nous ne parl...
Je sens chez vous, monsieur le président, une humeur printanière. (Sourires.)
Vous avez raison. Ce n'est pas le sujet, bien que Montesquieu ait démontré l'importance de la théorie des climats. (Sourires.)
Mais c'est un autre sujet. Vous reconnaîtrez avec moi, madame la ministre de l'économie, que l'on vit moins mal quand il faut beau tout le temps, car il y a moins de frais. (Sourires.) L'explosion du nombre de dossiers de surendettement ces dernières années 189 000 nouveaux dossiers par an et l'aggravation prévisible due à la crise économ...
Madame la ministre, monsieur le rapporteur, vous manifestez, jusqu'à présent, un souci de ne pas allonger les débats par des avis dépourvus de concision... Cet amendement traite du crédit revolving, dénoncé comme une source dangereuse de surendettement. Alors que 80 % des dossiers de surendettement comprennent un crédit revolving et que chaque...