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Ah ! dès lors que je vous tends le miroir, on vous voit vraiment comme vous êtes. Vous me dites que je suis hors sujet.
Je comprends que vous demandiez qu'on arrête quand on appuie là où ça fait mal.
Mais nous n'allons pas arrêter, surtout avec ce qui se passe dans le pays aujourd'hui. Notre peuple se lève. Notre peuple a depuis longtemps compris ce que vous êtes en train de faire. La nouveauté, c'est que notre peuple a pris conscience de sa force dès lors qu'il est rassemblé et qu'il bat le pavé de nos villes pour que justice lui soit rend...
vous continuez à penser que la finance est le moteur de l'histoire. Monsieur Perruchot, sortez des ornières dans lesquelles vous barbotez déjà depuis 1997. Si je me rappelle bien, il me semble qu'entre 1997 et 2002, 2 millions d'emplois avaient été créés.
Depuis que vous êtes revenus aux affaires, on compte 800 000 chômeurs de plus.
Depuis que vous êtes revenus aux affaires, le nombre de riches a augmenté, tout comme les profits, mais la misère a progressé. Voilà la réalité.
À Chamalières, vous courrez moins de risque qu'ailleurs, mais vous savez, monsieur Giscard d'Estaing, que le suffrage universel est parfois versatile même si, sur les longues périodes historiques, globalement, il ne se trompe pas et vous aurez l'occasion de l'éprouver à l'occasion des prochaines échéances, en 2012 par exemple.
Il est des vicissitudes qu'il faut assumer en républicain conséquent, comme Nicolas Perruchot et moi-même l'avons fait à Blois et à Montreuil. Mais je voudrais revenir à mon propos parce que mon temps va être bientôt écoulé. Si ce projet dit de régulation bancaire ne régulera rien, si cette loi n'aura aucunement pour effet de moraliser le cap...
Vous aussi, vous avez la passion. Nous n'avons pas la même, c'est tout.
Vous ne croyez pas à leur sincérité quand même ?
Cela change de l'anglais nothing at all !
Ils devaient se lever tôt !
Dans le froid de l'hiver !
Madame la ministre, vous l'avez dit tout à l'heure : nous avons des convictions, mais pas les mêmes. Une différence entre nous est que je m'intéresse plus aux vôtres que vous aux miennes. Cela tient peut-être à notre culture : j'aime la contradiction et je crois à la valeur de la dialectique, tandis que vous en êtes plutôt à la métaphysique et ...
Les autres ont des marges de progression, et vous en particulier, mon cher collègue. Dès le matin, il faut avoir des ambitions
Pour la démocratie, si l'UMP commence à donner des exemples, le pire est assuré.
Mais vous ne tenez pas vos fiches à jour ? Que font les services secrets ? Je ne suis plus membre du parti communiste depuis 1996 ! Mais à la différence de vous, j'ai un idéal et j'y suis fidèle : celui des gens qui travaillent, qui vivent de leur travail et qui combattent les exploiteurs dont vous êtes ici le fondé de pouvoir ne vous en déplai...
Mais bien sûr ! Vous pouvez faire beaucoup de critiques, mais certainement pas celle-là. La différence entre nous est que nous ne sommes pas des idolâtres, alors que vous adorez le veau d'or, que vous n'aimez que ce qui brille et qui profite aux privilégiés. Nous, nous sommes du côté de ceux qui travaillent, qui peinent.
Nous défendons ceux que vous opprimez, ne vous en déplaise. Madame la présidente, je sens que vous allez me rappeler à l'ordre.
Cela m'oblige donc à aller plus rapidement que prévu vers ma conclusion. En parlant de la domination des marchés financiers, les auteurs de l'appel déclarent qu'une « une autre forme de dictature des marchés s'impose partout, et particulièrement aujourd'hui au Portugal, en Espagne et en Grèce, trois pays qui étaient encore des dictatures au dé...