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Mais je fais référence également à d'autres saints du calendrier qui visaient la justice et la réhabilitation des pauvres plutôt que la mise en selle des riches, qui est une obsession partagée, pour le coup, entre François Baroin et Charles de Courson.
Ce n'est pas possible, madame la présidente ! Nous présentons le même amendement chaque année, et il n'est jamais tombé. Je ne vois pas pourquoi il tomberait d'un seul coup !
Je voudrais comprendre ce qui explique cette mutation. C'est ma vingt-troisième loi de finances et je n'ai encore jamais vu ça !
Dans ces conditions, je demande la parole pour un rappel au règlement.
Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans cette maison. En effet, nos collègues en sont témoins, nous fûmes bâillonnés il y a trois semaines par le président de l'Assemblée nationale et il faut croire que c'est une maladie contagieuse. Nous ne nous attendions point, madame la présidente, à ce que vous versâtes dans ces excès ! C'est un p...
Madame la présidente, je demande une suspension de séance.
Soyez remerciée pour votre geste, madame la présidente, et permettez-moi de suggérer au président de notre assemblée qu'il s'inspire de votre attitude. Merci donc de nous donner la parole, sans quoi cela aurait été la première fois en vingt-trois ans que nous n'aurions pas eu la possibilité de nous exprimer sur le barème.
L'impôt, tel que nous le concevons, plonge ses racines dans l'histoire nationale. Rappelez-vous l'article XIII de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 : « Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les ci...
Il n'a pas été guillotiné !
Je suis effaré, madame la présidente, qu'un député ignore le sort qu'a connu Condorcet. Depuis l'époque de la Révolution, la question de la progressivité de l'impôt trace une ligne de partage entre la droite et la gauche. Vous avez écrasé la progressivité et, même si certains mots heurtent vos chastes oreilles, vous mettez en place une politiq...
Plus de deux siècles après, l'histoire bégaie, monsieur Le Fur, vous qui êtes féru d'histoire. Marx a dit que lorsque l'histoire se répétait c'était sous forme de farce, mais si Bonaparte n'est plus là, les éminences qui nous dirigent sont fidèles à ses discriminations, qui visent à faire payer davantage les plus pauvres et moins les plus riche...
À qui la faute ?
Pour ce qui est de la mobilisation, j'assume !
Ça, c'est vrai, ils sont toujours aussi nuls !
Il aurait pu ajouter les ministres !
Mais que peuvent bien être des vertus éternelles ?
C'est Le Pen qui dit ça !
On en a tellement lancé qu'il n'y a plus de place pour l'eau !
Conversion tardive !