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Les amendements de Jean-Pierre Brard pour ce dossier

376 interventions trouvées.

Même les collectionneurs étrangers sont très contents d'être connus à Paris ! Tout cela ne tient donc pas la route. Nous ne sommes pas là pour organiser les détails de la mise en oeuvre. Pour cela, il y a le Conseil d'État. En vous écoutant tout à l'heure, monsieur le ministre, je me disais que vous aviez un vrai talent d'improvisateur. Mais,...

Comme l'a dit tout à l'heure le président de la commission, tous les gouvernements, qu'ils soient de droite ou de gauche, ont eu la même position, parce qu'en réalité votre position n'est pas la vôtre : c'est celle qui se décide dans les cocktails où des gens, qui appartiennent à ce qu'ils pensent être la bonne société, une coupe de champagne à...

Monsieur le président, la transparence de nos débats est très importante pour leur bon déroulement. Cet après-midi, j'ai dit que Mme Bettencourt, qui payait jusqu'à présent 40 millions d'euros d'impôts, n'en paierait plus que 10. M. le ministre, avec ses mots très particuliers qui font qu'à la fin de son propos vous ne savez plus sur quelle pl...

Monsieur le ministre, à l'occasion de cette réforme, vous avez pris la décision de diviser par deux le rendement de l'ISF, qui est actuellement de 3,7 milliards d'euros, et de faire un cadeau de près de 2 milliards d'euros supplémentaires aux plus fortunés. Toutes vos acrobaties pour nous faire accroire le contraire n'y changent rien. Cette déc...

M. le ministre a terminé son intervention en disant qu'il s'était efforcé d'être « sincère et objectif », ce qui tient de l'incantation.

Mon cher collègue, vous avez un sacré culot de prétendre connaître la conclusion de mon propos, alors que je viens à peine de prendre la parole ! Cela augure mal du débat ! La bataille contre l'enfumage est engagée, et quand le ministre parle d'un texte simple et compréhensible par tous, je dois dire que ce n'est évidemment pas vrai ! Or, pour...

Monsieur le ministre, vous n'avez toujours pas répondu à ma question, mais je vous tiens au mollet comme un pit-bull, et je ne vous lâcherai plus ! Oui ou non, madame Bettencourt a-t-elle payé jusqu'à présent 40 millions d'euros d'impôt, et va-t-elle payer seulement 10 millions d'euros à partir de maintenant ?

C'est simple, c'est de la pédagogie politique ! J'attends une réponse de votre part, monsieur le ministre, pour que le masque soit arraché et que, derrière votre perpétuel sourire, nos compatriotes voient la réalité de votre politique !

Ce que vient de dire notre collègue Charles-Amédée de Courson est fort intéressant car ce qu'il souhaite qu'on ne fasse pas pour les oeuvres d'art, il est possible de le faire pour les appareils de télévision !

Vos états d'âme subsidiaires ne nous intéressent pas ! Or je vois bien qui vous voulez protéger.

qui trouvent un plaisir secret dans la contemplation solitaire d'oeuvres d'art qu'ils veulent garder pour eux tout seuls ! (Sourires.) On nous dit que, si jamais l'on taxe les oeuvres d'art et je précise que nous ne proposons pas de changement quant au caractère déclaratif , celles-ci vont partir à l'étranger

Mais, comme dirait Jérôme Cahuzac, après tout, si elles sont destinées à une jouissance solitaire, que ce soit sur le territoire national ou à l'étranger, quelle différence ? Vous savez bien, mes chers collègues, que les oeuvres d'art sont l'objet de manipulations nombreuses. Elles permettent notamment de blanchir de l'argent sale. Nous, nous ...

Il faut pour cela que ces oeuvres soient présentées au public chaque année. Vous voyez que nos propositions sont bonnes. La preuve en est qu'elles ont été soutenues il y a quelque temps par la presse suisse, qui n'est pourtant pas suspecte d'être favorable à une fiscalité confiscatoire !

Je trouve que notre collègueHenri Emmanuelli est un peu sévère avecJérôme Chartier qui, tout à l'heure, a fait le pompier. Il s'est accroché à la corde qui agite le bourdon de la cathédrale pour sonner le rappel de ses collègues de l'UMP qui avait déserté l'hémicycle. Telle était la réalité de son intervention : quand on n'a pas d'arguments mai...

C'est la différence avec les Allemands : leurs groupes privilégient les sociétés allemandes sur les chantiers étrangers. Alors que chez nous, à une exception près, les grands groupes privilégient ceux qui leur ramènent le plus de petits sous, indifférents qu'ils sont à l'emploi. Nous touchons là à une question de principe, qu'il faudrait soulev...

M. François Baroin dénonçait l'esprit de classe comme étant archaïque. Pourtant, c'est bien lui qui vous habite : vous défendez les vôtres, ceux qui plument la France, ceux qui plument les plus pauvres !

Monsieur le président, sentant que, touché par mes arguments, vous n'en pouvez plus de les écouter, je vais terminer en disant au ministre et aux collègues de la majorité qu'ils ne peuvent pas démontrer le contraire de ce que j'ai dit : d'un côté, vous prenez 600 millions d'euros, et, de l'autre, vous donnez 1,8 milliard d'euros. Votre entêteme...

Depuis tout à l'heure, nous entendons parler d'idéologie, comme si c'était un gros mot. Or qu'est-ce que l'idéologie ? C'est un corpus d'idées permettant d'analyser la société et de formuler des solutions pour préparer l'avenir. Quels sont ces hypocrites qui disent ne pas avoir d'idéologie ? Ce sont ceux qui ont une idéologie perverse qu'ils ne...

Les héritiers des privilégiés sont toujours là ; mais nous aussi, nous sommes toujours là, sauf que, depuis, le peuple s'est éveillé, même si vous essayez de l'embrumer.

Monsieur le président, monsieur le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État, mes chers collègues, nous avons assisté tout à l'heure à deux discours fantastiques, celui de Charles-Amédée de Courson et celui de Jérôme Chartier. Le Nouveau Centre s'est battu, a déclaré Charles-Amédée de Courson. ...