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D'identité nationale !
Ce n'est pas la seule !
Un secrétariat aux droits de l'homme, par exemple.
On va vous y aider !
Il faut baisser le plafond pour les familles !
Jamais on ne vous reprochera cela, monsieur le ministre ! (Rires.)
Il faut suivre : moins cher que quoi ?
Ils sont deux fois plus nombreux que nous !
Inscrivez-les à l'ordre du jour !
C'est un investissement, la formation !
Allons, allons !
Si vous voulez, monsieur le président. Monsieur le ministre, la présence de la France à l'étranger doit beaucoup à une catégorie de personnel peu considérée : les recrutés locaux. Près de 10 000 agents du réseau diplomatique consulaire et culturel servent l'État avec un grand dévouement, sans pour autant bénéficier en retour d'un traitement sa...
Vous y avez mis les moyens !
Ça l'arrange bien ! (Sourires.)
Quand il dit des bêtises, on a le droit de les corriger !
Il serait bon d'accompagner la discussion budgétaire d'un débat sur l'efficacité des ambassades. Je défends totalement les positions exprimées par Hervé de Charette sur les finances, notamment en ce qui concerne les établissements d'enseignement à l'étranger : cette politique a pour conséquence de moins donner à ceux qui en ont le plus besoin, ...
Monsieur le ministre chargé de l'industrie, malgré 65 milliards de fonds publics versés aux entreprises par an, le chômage, y compris partiel, flambe, les délocalisations perdurent, la précarité s'aggrave, notre industrie recule. Après M. Séguin, M. Copé, l'un des parlementaires des plus proches du MEDEF (Exclamations sur les bancs du groupe U...
Je l'ai lu dans Le Journal du Dimanche du 25 octobre. Le Gouvernement soutient bien plus le grand patronat et le capital que le travail. Vous nous démontrez au quotidien que les actionnaires comptent plus que les ouvriers. C'est cela qui a produit et qui nourrit la crise. L'automobile est un cas d'école. Grâce à 6 milliards de prêts, aux aide...
Monsieur le secrétaire d'État à l'intérieur et aux collectivités territoriales, mes chers collègues, l'heure est grave (Rires sur quelques bancs du groupe UMP) puisque nous touchons là à la représentation nationale des citoyens. Ce découpage électoral ne peut être considéré comme un progrès pour notre démocratie, fondement de notre République....
Vous tentez de faire croire que ce charcutage électoral est un progrès démocratique. C'est faux puisque votre priorité n'est pas l'intérêt général des Français, de la France, mais est de répondre au goût de domination exacerbé de M. Sarkozy. Pourtant, face à la crise de la politique capitaliste, dans laquelle vous avez entraîné les citoyens, l...