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La parole est à Mme la ministre.
Quel est l'avis de la commission ?
La parole est à M. Roland Muzeau.
La parole est à M. Christian Paul.
La séance est ouverte. (La séance est ouverte à vingt et une heures trente.)
L'ordre du jour appelle la suite de la discussion du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2008 (nos 284, 295).
Cet après-midi, l'Assemblée a poursuivi l'examen des articles s'arrêtant à l'amendement n° 603 portant article additionnel après l'article 13.
La parole est à M. le rapporteur de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales pour les recettes et l'équilibre général, pour soutenir l'amendement n° 603 portant article additionnel après l'article 13.
La parole est à M. le ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique, pour donner l'avis du Gouvernement sur cet amendement.
Levez-vous le gage, monsieur le ministre ?
Je mets aux voix l'amendement n° 603, compte tenu de la suppression du gage. (L'amendement, ainsi modifié, est adopté.)
La parole est à M. Roland Muzeau, premier orateur inscrit sur l'article 14.
Veuillez conclure. Dura lex, sed lex !
Monsieur le président, je dois avouer ma perplexité. Je croyais que nous avions exprimé, les uns et les autres, des inquiétudes sur la situation financière de la sécurité sociale, et singulièrement de l'assurance maladie. À la fin de la séance de ce matin, nous nous étions étonnés que l'on ne s'engage pas plus avant sur la piste ouverte par la...
J'ai été indulgent avec le premier orateur, mais je vous invite, mes chers collègues, à respecter votre temps de parole : cinq minutes par intervention, pas une de plus ! (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Vous aurez compris que notre intérêt à tous est d'aller à l'essentiel !
La parole est à Mme Aurélie Filippetti.
J'y viens. Ne croyez vous pas, mes chers collègues, qu'il serait temps de revoir notre système de fixation des prix et de distribution du médicament ?
Lorsqu'il a été question des années 2006 et 2007, le Gouvernement s'est targué de la diffusion des génériques. Or le prix des génériques dans notre pays est tellement élevé, en raison des marges arrière, que les résultats économiques attendus de leur substitution aux princeps ne sont pas au rendez-vous. Il y a là un gisement colossal de marges ...
Je suis saisi de trois amendements n°s 26, 27 et 28.
Quel est l'avis du Gouvernement ?