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C'est bien ce que je vous reproche.
Vous dites vraiment n'importe quoi !
Monsieur Woerth, c'est indigne de vous ! Le déficit vous donne des vertiges : reprenez-vous !
1996 !
Un Doliprane ?
Monsieur le président, madame la ministre, messieurs les ministres, cinq minutes pour parler du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2010, c'est presque trop, tant celui-ci est vide.
La réalité est claire. Ce qui est en cause, ce ne sont pas seulement les 30 milliards d'euros de déficit mais, de manière plus générale, l'état de nos finances sociales et, disons-le, de nos finances publiques. Aujourd'hui, monsieur le ministre, vous avez beau multiplier les déclarations, les finances publiques sont potentiellement hors de con...
Le deuxième aspect de votre politique, plus constant, est la convergence tarifaire entre le secteur privé et le secteur public, comme on peut le constater dans le projet de loi de financement lui-même. Elle ne se justifie en rien au plan de la théorie économique et ne constitue rien d'autre qu'un engagement idéologique qui aura pour conséquence...
Attendez le 25 décembre, peut-être le Père Noël passera-t-il !
À quel taux ?
Vous avez raison, monsieur le ministre : on n'en sait rien !
Vos taux seront sans doute plus élevés que ceux auxquels emprunte l'État.
À votre avis, les emprunteurs ignoreraient que la dette sociale est assurée par l'État ?
Les revenus du capital, on n'y touche pas !
Nous avons déjà entendu cela l'an dernier !
Et vous rabotez tout cela avec le bouclier fiscal !
Par nécessité, madame la ministre !
Ce n'est qu'une très légère caricature !
C'est faux !