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Je vais conclure, monsieur le président. Le deuxième apport du traité est d'effacer la fiction constitutionnelle et sa traduction dans le domaine économique. Ainsi disparaît la crainte d'une institutionnalisation du libéralisme, qui reviendrait à graver dans le marbre la concurrence libre et non faussée. Celle-ci redevient ce qu'elle a toujours...
Je vais conclure, mais c'est important, monsieur le président !
Je vous en remercie, monsieur le président. Je vais conclure en disant que ce traité n'est pas une fin en soi : comme vous l'avez compris, il est l'instrument d'une sortie de crise, l'opportunité d'une réforme des politiques de l'Europe. Nous n'avons plus le droit de continuer comme avant, et devons assumer l'obligation morale et politique de ...
mais vous n'en traduisez pas les opportunités dans votre politique nationale et européenne. J'entends le Président défendre l'idée d'une forme de préférence communautaire, mais je n'en trouve nulle part la trace dans son action européenne. Je relève dans son programme beaucoup de critiques sur le manque de coordination des politiques économiqu...
Ces contradictions ont terni la réputation de la France et ont été pour beaucoup dans le désenchantement européen de nos compatriotes. J'ai la conviction que l'adhésion directe des Français à ce traité est nécessaire. Elle marquerait une réconciliation solennelle avec l'Europe, et lui offrirait une validation populaire qui lui fait aujourd'hui...
Vous ne m'avez pas écouté ! Faites un effort pour ne pas caricaturer.
Monsieur le président, mes chers collègues, après avoir débattu et voté au sein du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, nous nous sommes prononcés en faveur de cette proposition de loi (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche), qui permettra, si elle est adoptée, de consulter le pe...
Mon ami et collègue Jean-Claude Sandrier connaît très bien la position du parti socialiste, qui a majoritairement décidé de voter la ratification du traité de Lisbonne. Et, là, nous constatons qu'il y a entre nos deux familles politiques un désaccord, auquel le rapporteur a fait très honnêtement allusion. Toutefois, la proposition de loi que n...
Nous voterons donc contre les conclusions de la commission, car nous sommes favorables à l'examen de cette proposition de loi constitutionnelle par l'Assemblée nationale. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)
Respectez la présidence ! Vous n'êtes plus assistant parlementaire !
Vous êtes grotesque !
Je souhaite répondre au rappel au règlement qu'a fait en réalité M. Lefebvre en défendant son amendement, lequel révèle d'ailleurs la complexité du projet gouvernemental et une improvisation telle que le dispositif proposé ressemble cela n'a échappé à personne à une usine à gaz. Votre explication était si laborieuse, monsieur Lefebvre, que ...
Aujourd'hui, vous avez reçu un ordre de l'Élysée, qui s'est rendu compte que l'opinion rejetait ce type de mesure. Mais si nous n'avions pas mené la bataille, nous n'en serions pas là ce soir. Du reste, ce n'est pas fini, car le maintien de l'exonération de redevance est limité à 2008. Alors, faites-nous confiance pour rester vigilants. Même si...
Reconnaissez tout de même que c'est une usine à gaz !
Puisqu'il est fait référence au vote des salariés de Continental à Sarreguemines, pensez-vous vraiment, monsieur le ministre, mesdames et messieurs les députés de la majorité, que ces salariés aient eu le choix ?
Vous ne pouvez pas toujours vous en tirer par une pirouette ou une belle formule, monsieur le ministre ! Il a été rappelé cet après-midi dans l'hémicycle, à l'occasion d'une question au Gouvernement, que 700 emplois avaient été supprimés récemment à Angers par la même entreprise. En réalité, la question posée aux salariés de Sarreguemines était...
C'est l'illustration du système que vous voulez instaurer : celui de la contrainte imposée aux salariés ! À vous en croire, monsieur Chartier, en ne votant pas cet amendement je refuserais que « les Français » gagnent en pouvoir d'achat. Mais vous savez bien que seule une petite partie d'entre eux sont visés par les dispositions que vous propo...
Au bout du compte, au 1er janvier prochain, l'amélioration du pouvoir d'achat ne sera pas au rendez-vous. Mais de grâce, ne reprenez pas l'exemple de Sarreguemines ! Lorsque les salariés commentent les résultats de leur vote, ils rappellent qu'ils n'avaient pas le choix. Eh bien nous, nous voulons qu'ils l'aient ! (Applaudissements sur les banc...
C'est votre seule réponse ?
On a le droit d'analyser les choses !