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M. Charasse avait lui-même reconnu qu'il avait fait une bêtise et qu'il fallait la réparer, mais cela ne vous avait pas suffi. Ensuite, vous aviez employé le même argument qu'aujourd'hui, selon lequel il fallait vraiment que les socialistes n'aient rien à dire pour essayer de rallumer la guerre scolaire... Quand, à l'époque, nous vous disions...
Non, monsieur Geoffroy, nous voulons simplement protéger le principe de parité tel qu'il a été édicté dans les lois Debré de 1959, et dont nous n'étions pas de farouches partisans. Dans un échange que j'ai eu avec le président Pélissard, celui-ci a estimé que ce n'était pas l'heure de soulever ce problème, qu'il avait des assurances de la part...
C'est le but de ces deux amendements. L'amendement n° 65 propose d'abroger purement et simplement l'article 89 de la loi du 13 août 2004 qui ne crée que des dégâts. L'amendement n° 66 est un amendement de repli, qui a pour but de donner une valeur législative à l'accord tripartite signé entre l'AMF, le ministre de l'intérieur et l'enseignement...
Je voudrais au moins obtenir du Gouvernement des assurances quant à ses engagements. Je le répète, cette situation est troublante, au sens pur du terme, elle est difficile et délicate, il faut la traiter et vite. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)
Monsieur le ministre, j'entends votre argument quant au caractère cavalier de cet amendement mais, comme je le disais à mi-voix à M. Warsmann, peut-être commettez-vous une erreur tactique en le refusant car il aurait peut-être constitué un bon moyen de vous éviter un recours devant le Conseil constitutionnel. Tant pis ! vous faites cette faute ...
Monsieur Lefebvre, votre parole d'expert en la matière me touche. Je suis « esponté », comme on dit dans le sud, par votre propos.
M. Pélissard, président de l'Association des maires de France, se tait mais il m'a assuré avoir l'engagement du Gouvernement que ce problème serait traité très vite. Monsieur le ministre, je voudrais que cet engagement que vous avez pris à titre privé auprès du président de l'Association des maires de France, vous le preniez à titre public deva...
Voilà un homme honnête !
Douste-Blazy, quel grand talent ! Il est désormais secrétaire général adjoint à l'ONU. Avoir aggravé le déficit méritait bien une récompense !
Langue de bois !
Quel tableau ! Bref, il vaut mieux être riche et bien portant que pauvre et malade !
Donnez-nous votre ordonnance !
D'où le paquet fiscal, sans doute !
Parce que vous, vous êtes parfaitement objectif peut-être !
Ben voyons !
Elles vont moins mal !
Qui pourrait penser une chose pareille ? Ces procès d'intention sont insupportables ! (Sourires.)
La voix de son maître !
Qui a pu penser une chose pareille ?