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Madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, il y aura au moins un point sur lequel nous serons d'accord :...
..c'est qu'il est temps de redonner du pouvoir d'achat aux Français. Si vous partagez ce constat, vous conviendrez que, depuis cinq ans, on ne leur en a pas donné beaucoup, ce qui constitue déjà une mise en cause des politiques que vous avez menées, madame la ministre, ou approuvées, monsieur le secrétaire d'État, lorsque vous étiez député. Cel...
Vous commencez par vous délester des moyens que vous aviez, et ensuite vous voulez faire pleurer sur la situation budgétaire de notre pays ! (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Monsieur le président de la commission, vous aurez le temps de me répondre. Pour le moment, il me semble que c'est à moi que le président de l'Assemblée a donné la parole.
Vous vous abritez derrière les fameuses heures supplémentaires et vous avez refait la démonstration que M. Chatel a déjà faite en commission l'autre jour. Vous nous avez expliqué la situation enviable du nouveau Stakhanov du monde libéral, celui qui travaille...
..quatre heures de plus par semaine, soit dix-huit heures de plus par mois, et reçoit 182 euros de plus par mois. J'aimerais bien, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, que vous nous le présentiez. (Sourires sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche) Donnez-nous au moins ses coordonnées et aussi, pendant...
Ce serait intéressant, parce que la réalité est tout autre. D'ailleurs, Mme Parisot l'a reconnu ce matin puisqu'elle a déclaré que le dispositif des heures supplémentaires concernait 30 % des entreprises. Ce qui signifie a contrario que 70 % ne sont pas intéressées... Ensuite, tous les salariés ne feront pas d'heures supplémentaires, et pas tou...
Pour en revenir au pouvoir d'achat, vous avez refusé de donner un coup de pouce au SMIC, vous n'avez augmenté les retraites que de 1,1 % et les allocations familiales ont été logées à la même enseigne. La redevance télé viendra grever les revenus modestes et la réponse qui nous a été donnée hier était tout à fait erronée je préfère ce qualifi...
Vous vous êtes contentée de les inviter à la modération. N'avons-nous décidément aucun autre moyen d'action ? En gros, vous leur avez demandé d'étaler les hausses sur quatre semaines C'était la moindre des choses : il leur en faut largement autant pour répercuter les baisses de prix ! Rappelons tout de même que Total a réalisé 12,5 milliards d...
La situation pousse beaucoup de nos concitoyens au surendettement, car la tentation est forte puisque l'accès au crédit à la consommation est trop facile aujourd'hui. Nous vivons dans une France du paradoxe : d'un côté, ceux qui ont les moyens, qui sont à l'aise, et à qui l'on donne encore plus et qui peuvent faire étalage de leur richesse en p...
Ce n'est pas la première fois qu'on essaie de régler ce problème : il y a déjà eu les lois Royer, Raffarin, Galland, la loi NRE, la loi Dutreil, et les tentatives de M. Sarkozy en 2004, lorsqu'il était ministre de l'économie et des finances. Toutes ces tentatives de réforme, bien que partagées, n'ont eu aucun effet.
Ce n'est pas ce que je dis, mon cher collègue.
Non, il faut simplement comparer ce qui a marché et ce qui n'a pas marché. Tout d'abord, monsieur le secrétaire d'État, vous nous avez dit que les prix des produits de la grande distribution avaient diminué de 3,5 % l'année dernière. Or j'ai eu beau chercher, je n'ai pas retrouvé ce chiffre dans les documents de l'INSEE. Mais j'ai dû me trompe...
tandis qu'on achète quotidiennement des produits d'alimentation. C'est ce qui justifie le « ressenti » comme on dit des Français les plus fragiles concernant la hausse des prix qui est une réalité ! Telle est la situation qu'à votre tour, vous essayez de réformer. Passons donc à l'étude des principales dispositions de ce projet de loi. ...
Il y a quelques semaines seulement, tout le monde était d'accord pour le supprimer. Aujourd'hui, certaines PME réalisent qu'en fait, il leur est utile ! Comme je l'ai dit à un patron de ma connaissance, le téléphone a dû bien marcher ces derniers jours ! Les mêmes qui réclament leur suppression appellent dans le même temps leurs fournisseurs po...
Il faut savoir ce que l'on veut : si l'on supprime les marges arrière, il ne faut pas toucher aux conditions générales de vente, parce que c'est le seul moyen de préserver la réalité des prix. D'autres sujets importants brillent par leur absence, comme le référencement. Pour ceux d'entre vous qui ne le sauraient pas mais ils sont rares , le...
Je veux bien comprendre, monsieur le président de la commission, que vous soyez irrité par notre proposition. Vous l'êtes d'autant plus que nous écoutons en effet depuis quelque temps même si cela fait moins d'une heure et demie les réponses des députés du groupe UMP et de M. le secrétaire d'État : nous en attendons d'ailleurs une autre de ...
Pourquoi ? Parce que la fiscalité n'y est pas la même et qu'on ne risque pas de passer sous les fourches caudines des règles européennes. Il est inutile d'amener le produit ; ce qui les intéresse, c'est votre carnet de chèques. Le chèque que vous ferez, ou que vous vous engagerez à faire à vos risques et périls , permettra aux grandes ensei...
Je ne parle que de l'UMP : pour l'heure, vous êtes encore au Nouveau Centre, même si cela ne durera peut-être pas très longtemps.
Voilà ce qu'est le système du référencement. Il nous faut en interdire le paiement : parce que c'est, n'ayons pas peur de le dire, du racket ! (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.)