Les amendements de Jean Gaubert pour ce dossier
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Monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, ce n'est pas aux vieux singes que l'on apprend à faire la grimace. La réponse qui vient de nous être faite, nous l'entendons depuis dix ans, dans cet hémicycle. À chaque fois que l'on est incapable de s'opposer à un argument de bon sens qu'il s'agisse de la consommation ou de l'électricité, notamm...
Ce qui est étrange dans notre débat, c'est le refus du dialogue. Je ne crois pas faire partie des députés ils ne sont sans doute pas nombreux qui versent dans l'outrance, mais il arrive un moment où l'on peut se poser des questions. Monsieur le ministre, si le sujet était aussi important et aussi simple que vous nous le dites aujourd'hui, ...
Monsieur le président, comme vous m'avez relégué au fond de la classe dernier orateur inscrit dans la discussion générale , vous voudrez bien m'accorder quelques secondes de plus si cela s'avérait nécessaire. On l'a bien compris, nous n'avons rien contre le principe des certificats d'obtention végétale, qui a été revendiqué sur tous les ban...
Si nous pouvons nous accorder sur ce premier point, nous ne nous en posons pas moins quelques questions, liées, notamment, aux modalités de fonctionnement du dispositif. Le système proposé est fort complexe, autant, chacun l'a compris, que la question des royalties. Ainsi, comment va-t-on faire pour la commercialisation ? On a parlé de l'accord...
J'ai cru entendre dire tout à l'heure que les agriculteurs ne seraient pas concernés pour leur partie autoconsommée. Mais où trouve-t-on cela dans le texte ? J'ai beau chercher, je ne vois rien à part les 92 tonnes, alors que certains consomment beaucoup plus !
J'ai enfin reçu une réponse précise, même si M. le ministre a un peu tardé je ne lui en veux pas. Comme vous venez de le marquer, c'est l'autoconsommation à des fins complètement domestiques qui est écartée. Or, peu nombreux sont ceux qui mangent tous les poulets de leur poulailler, tous les cochons de leur porcherie et tous les boeufs qui on...
L'avantage, monsieur le ministre, c'est qu'effectivement, vous êtes constant. Et si vous aviez fréquenté certains collèges mais je ne connais pas tout votre parcours , on pourrait même comprendre la raison de cette constance. Car vous connaissez la réalité : tant que vous renvoyez à la discussion, vous savez que celle-ci n'aura jamais lieu ...