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Aucune !
Parce que c'est un bon texte !
C'est un geste qui vous honore !
Mais voilà le président Copé ! (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP.)
Ce soir, on ne peut pas dire que votre groupe soit plus paritaire que le nôtre !
C'est sûr !
Comme vous pouvez le constater, vous n'êtes pas applaudi
Nous avons déjà eu ce débat sur la représentativité de l'ensemble des élus d'une collectivité, en particulier lorsqu'il s'est agi d'organiser et de développer l'activité de Paris Métropole. En tant qu'élus parisiens, nous avons toujours été choqués de voir que la capitale n'était représentée que par son maire.
J'ai le droit d'avoir un avis différent du vôtre, mon cher collègue ! Certes, nous avons eu sur ce sujet quelques discussions internes à ce sujet, même pas au sein du Conseil de Paris. Reste que le résultat est le suivant : lorsque Paris Métropole se réunit, Paris n'a qu'un représentant, son maire. Or, on le voit bien au travers de ce projet d...
Je sais que M. Pupponi s'opposait à des projets de ce genre. On voudrait construire des tours de logements sociaux de cinquante mètres de haut. On en détruit partout ailleurs, mais, comme par hasard, on veut en construire à Paris ! C'est pourquoi l'amendement que nous présentons permet aux maires d'arrondissement d'être au sein de la discussio...
Vous en conviendrez, il serait surprenant que le maire d'un arrondissement aussi peuplé ne puisse être au coeur du dispositif et des arbitrages ni participer à la rédaction et à la signature du contrat de développement. Monsieur le secrétaire d'État, je sais que ce contrat est le coeur du dispositif, plus que le tracé. Selon moi, il est anormal...
Vous me permettez d'en douter, monsieur le secrétaire d'État, quand je vois les efforts que nous déployons pour être présents dans une enceinte de réflexion, alors même que le Président de la République le souhaite et qu'il l'a dit à Bertrand Delanoë et Jean-Paul Huchon lorsqu'il les a reçus ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Dans ce...
Quoi qu'il en soit, monsieur le secrétaire d'État, je prends acte de vos propos. J'ai entendu ce que vous avez dit sur l'obligation faite au maire de Paris. Vous savez, les arguties juridiques selon lesquelles nous n'aurions pas la personnalité morale
Vous en conviendrez, un tel projet doit dépasser ces simples considérations juridiques. (Rires sur plusieurs bancs du groupe SRC.)
Franchement, on s'en moque un peu. Nous parlons d'une vraie révolution des transports pour l'Île-de-France et Paris ; ce n'est pas cela qui doit nous arrêter ! Nous devons prendre part au débat, arbitrer, empêcher d'entasser les problèmes sociaux dans des tours de cinquante mètres de haut. Bien évidemment, l'État, au premier rang dans l'innovat...
Quoi qu'il en soit, monsieur le président, je retire l'amendement n° 146.
Cela étant, je souhaite que la Société du Grand Paris, où l'État sera présent, tienne réellement compte de l'avis des maires d'arrondissement. C'est pour moi la priorité. C'est en tout cas ce que demandent les habitants de Paris et des arrondissements.
Il est défendu. (L'amendement n° 143, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Je crois que je vais moi aussi réveiller la gauche J'ai assisté à deux réunions de Paris Métropole
mais pas plus ! Je m'y trouvais en tant qu'observateur et cela m'a rappelé ces images en noir et blanc du Politburo, au temps de l'Union soviétique.