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Les amendements de Jean-Claude Sandrier pour ce dossier

27 interventions trouvées.

la santé de 13,3 millions, l'aide publique au développement, 23,5 millions, la ville et le logement de 23 millions et, il est vrai plus modérément, le travail et l'emploi de 5,5 millions. « Démarrer l'année avec près de 1 milliard d'euros de crédits supprimés, c'est un exercice inhabituel et difficile pour les ministères », a souligné Matigno...

Un double discours qui veut répondre aux attentes d'une opinion publique légitimement scandalisée par la rémunération des dirigeants des grandes entreprises et des professionnels de la finance, tout en offrant la garantie à ces derniers que rien ne change ni ne changera.

Votre gouvernement avait ainsi promis de taxer les bonus des traders, en prélevant 50 % des primes de résultat au-dessus de 27 500 euros. Remarquons qu'il n'y a pas de quoi pleurer sur leur sort. C'était évidemment sans compter avec le lobbying effréné des patrons de la finance, Baudoin Prot en tête, président de la puissante Fédération bancai...

Il va donc sans dire que nous voterons l'amendement proposé par le président de la commission des finances, notre collègue Didier Migaud, amendement qui a été adopté en commission, en espérant sincèrement que le Gouvernement n'aura pas ici l'audace de s'y opposer. En fait, ce que nous montre la situation chômage, accroissement des inégalités...

Mon rappel au règlement se fonde sur l'article 58, alinéa 1, de notre règlement, qu'il faudra peut-être modifier puisqu'un député vient d'innover une fonction de porte-parole des ministres. (Sourires.)

Cela dit, sur un ton moins plaisant, je voudrais faire une remarque sur la manière dont se déroule le débat. Nous connaissons dans cette assemblée, depuis la modification du règlement précisément, des simulacres de débat : présence d'un seul député de la majorité lors des séances d'initiative parlementaire issue de groupes d'opposition ; droit ...

Nous sommes ici des élus de la République, madame et monsieur les ministres. Cette attitude méprisante est inacceptable. Mon intervention contenait des propositions ; vous pouviez prendre position, dire qu'elles étaient ridicules, pourquoi pas. Mais dites quelque chose ! J'ai dit que vous aviez vidé les caisses de l'État. Répondez ! J'accepte ...