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Au cours de ces discussions, a-t-il été question du coût de la vaccination ?
Avez-vous évoqué la question ?
Est-ce qu'à votre connaissance un nombre significatif d'infirmiers libéraux a refusé d'être réquisitionné ?
Vous êtes donc responsables de la réquisition des médecins ?
Cela veut dire que, fin août, la présence des médecins n'était pas prévue ?
Ce point a déjà été abordé. J'habite près d'une école d'infirmières et il m'a semblé que l'enseignement avait été considérablement désorganisé. Pourtant, le directeur de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris nous a dit que les réquisitions n'avaient pas eu de conséquences fâcheuses, les étudiants ayant finalement obtenu leurs examens, en plus...
Si vous le permettez, M. Chassang répondra lorsque nous aurons entendu M. Leicher, l'actuel président de MG France.
Monsieur Chassang, comment se passaient les réunions en question ? Avez-vous des comptes rendus ? Pourquoi cette désorganisation, alors que vous aviez multiplié, tout au long de l'été, les réunions dans un certain nombre de départements : des médecins absents, des infirmiers remplacés par des pompiers, des horaires d'ouverture changeant du jour...
J'ai quatre questions récurrentes depuis le début des auditions. Premièrement, un médecin libéral est-il capable de regrouper par dix des patients pour les vacciner, dès lors qu'on lui donne la dose ou qu'il va la chercher quelque part ? On nous a déjà répondu par la négative, en avançant notamment des problèmes de conservation, ce qui me para...
Et s'agissant de ceux qui ont été livrés ?
Mais pas avant ?
Mais entre octobre-novembre et janvier ? Je vise les vaccins que vous utilisiez dans les centres. J'imagine que si ce n'était pas vous qui vacciniez, vous avez eu la curiosité d'aller regarder à quoi ils ressemblaient.
Vous voulez donc dire qu'à côté des centres de vaccination, les médecins du secteur libéral qui le souhaitaient seraient venus chercher des vaccins qu'ils auraient utilisés au gré des rendez-vous qu'ils fixaient ?
Est-ce que les centres pouvaient servir justement de lieux de ressources ?
Ce n'est pas ce que je veux dire. Est-ce que les médecins de ville auraient pu, concrètement, aller chercher leurs dix vaccins pour la journée, tout en conservant la traçabilité ?
On s'est sans doute conformé aux dispositions relatives à la grippe H5N1.
Ce n'est pas ce qu'on nous a expliqué jusqu'à présent.
Je pense que c'est extérieur au problème de la Commission.
Ce n'était pas une réticence : c'était une interdiction qu'on leur avait faite.
De la même façon qu'on a toujours vacciné sans bons à certains endroits.