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C'est évident !
Cet article aborde le problème spécifique des UFR de médecine, de pharmacie et d'odontologie en soulignant leur spécificité. La loi donne tous pouvoirs aux présidents d'université, notamment en matière de nominations. Il paraît donc important, en ce qui concerne la nomination des PU-PH professeurs des universités-praticiens hospitaliers , de...
Comme vient de l'expliquer M. Jardé, il s'agit, compte tenu de l'importance qu'ont aujourd'hui les équipes des centres de lutte contre le cancer dans la recherche cancérologique, de mieux les intégrer dans les unités de recherche.
Nous sommes ici au coeur du débat. Il est temps d'accepter de confier la gestion et la direction des universités à leurs présidents. Les derniers amendements en sont un nouvel exemple : il faut éviter tout système dans lequel les décisions seraient en permanence contestées. L'ouverture et l'autonomie des universités passent en effet par une ges...
Monsieur Vaxès, vous avez mal apprécié le problème posé par cet article. Il ne s'agit pas aujourd'hui de psychiatriser les délinquants, mais, au contraire, dans un souci de pragmatisme et d'efficacité, d'identifier ceux qui relèvent d'une prise en charge psychiatrique. Vous ne trouverez pas de réponse dans des arguments fallacieux tels que le ...
Pas du tout ! La société demande aujourd'hui à ce que l'on prenne réellement en considération les problèmes auxquels elle est confrontée. Certains délinquants relèvent d'une prise en charge purement éducative,
d'autres d'une mesure répressive, et d'autres, enfin, d'une prise en charge médicale. Ce discernement n'est certes pas aisé, mais nous devons avant tout faire preuve d'efficacité et être en mesure de répondre à une attente. Remettre en liberté des personnes qui n'ont pas toute leur conscience et qui font, de ce fait, courir des risques à la so...
a précisé que les problèmes surviendront plutôt lorsqu'un biologiste sera affecté à l'université et que celle-ci pourra décider de l'affecter à l'unité de formation et de recherche (UFR) de médecine, qui l'attend avec le CHU, ou à l'UFR scientifique.
Vous irez leur expliquer cela !
En écoutant M. Cahuzac, j'ai eu le sentiment qu'il ne s'arrêterait jamais !
J'ai regretté que sa présentation théâtrale, l'énergie qu'il a déployée dans son plaidoyer extraordinaire contre une réforme attendue par tous les Français depuis maintenant plusieurs années (Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, radical et citoyen) n'aient pas été utilisées positivement pour faire ressortir les éléments qui vont per...
Monsieur Cahuzac, vous avez commencé par rendre hommage au texte et à ceux qui l'ont rédigé. Vous avez souligné aussi la cohérence qu'il y avait entre l'investissement réalisé car c'est bien d'investissement qu'il s'agit : 13 milliards d'euros, ce n'est pas rien et les promesses de campagne du Président de la République. Vous auriez dû pour...
Mais, monsieur Cahuzac, nous n'avons pas la même conception de l'emploi. Pour vous, c'est de l'emploi public, de l'emploi que l'on décrète (Protestations sur les bancs du groupe socialiste, radical et citoyen),
de l'emploi qui n'a pas à être productif. (Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, radical et citoyen.) Or ce dont notre pays a besoin, c'est de créer de l'activité et des richesses (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire), c'est de faire en sorte que ceux qui ont quitté le territoire parce qu'...
Redonnons confiance aux entreprises. C'est ainsi que nous ferons naître les futurs emplois. Redonnons confiance aux Français pour qu'ils travaillent davantage. Telles sont les valeurs de ce texte fondateur sur lequel nous aurons à nous prononcer.
Jamais un texte n'a été autant discuté en commission ! (Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, radical et citoyen.) Pas moins de quatre commissions se sont prononcées.
Elles ont pu l'analyser, l'amender et le faire évoluer pour aller dans le sens des voeux exprimés par le Président de la République pendant la campagne électorale. Monsieur Cahuzac, allez expliquer aux millions de Français qui vont bénéficier de la déduction fiscale sur les intérêts d'emprunt que ce n'est pas une bonne mesure !
Allez expliquer aux Français qui ne peuvent augmenter leur pouvoir d'achat parce qu'ils n'ont pas la possibilité de travailler plus, que les heures supplémentaires ne leur permettront pas de mieux gagner leur vie !
Oui, monsieur Cahuzac, les Français attendent que nous prenions nos responsabilités. Mais soyons courageux : allons jusqu'au bout. Faisons en sorte que le pays se reprenne et créons une dynamique favorable à l'emploi et à l'activité.
N'allons pas à l'encontre des attentes des Français. La confiance est en train de naître ; c'est ainsi que la reprise économique sera au rendez-vous. Cet investissement de 13 milliards, nous le rentabiliserons dans les mois et les années qui viennent ! (Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, radical et citoyen.) C'est cela la nouvelle...