Il s'agit de remplacer le mot « rectifiées » par le mot « amendées » dans le deuxième alinéa de l'amendement n° 8 rectifié .
En effet, nous sommes ici pour affirmer un principe fondamental de la liberté des parlementaires : le droit d'amendement. L'amendement n° 8 rectifié laisse à l'auteur d'une proposition de résolution ou, le cas échéant, à son premier signataire le droit de rectifier cette proposition. Mais, pour être complet, ce droit doit être un droit d'amender.
Voilà pourquoi nous proposons de substituer le terme « amendées », consacré par la terminologie parlementaire, au terme « rectifiées », dont la portée est moindre.