C'est la meilleure réponse à son inquiétude quant à l'équipement des 44 tonnes et à l'adaptation, sur le plan mécanique, des transporteurs routiers à ce nouveau dispositif. Les surcoûts résultant du durcissement de ces règles auraient été insupportables pour les entreprises qui ne peuvent pas recourir à des prestataires étrangers, je pense en particulier aux agriculteurs.