C'est ici que se trouve le point dur de la négociation : le problème de la conciliation entre l'intérêt collectif de l'entreprise – intérêt réel ou supposé – et la situation des individus, chacun dans sa vie réelle et ses contraintes personnelles.
L'article 40 du projet de loi aurait pour conséquence que tout salarié se verrait obligé d'accepter la modulation de son temps de travail, y compris au détriment de sa vie personnelle et familiale.