Selon lui, de tels accords, qui s'inspirent de l'exemple allemand, devraient permettre, dans toutes les entreprises, de négocier librement sur l'adaptation de la durée du travail et des rémunérations.
Dès le 1er février, le Premier ministre a écrit aux partenaires sociaux en vue de l'ouverture d'une éventuelle négociation qui devra être conclue dans un délai de deux mois.
Dans cette période de crise de la dette publique, et dans l'esprit du Président de la République, le maintien de la compétitivité passe obligatoirement, et avant tout, par la baisse du coût du travail,…