Si mes propos ont pu heurter mon collègue Brottes, je le prie de m'en excuser.
Notre collègue de Rugy nous parle de promesses. Pour ma part, je ne parle ni de promesses ni de programme. Nous laissons les Français décider du sort de notre pays. Nous verrons bien ce qui se passera au mois de mai prochain.
En revanche, nous pouvons parler de ce qui vient de se passer au courses cinq dernières années.