Il faut bien entendu maintenir le pouvoir d'achat, puisque la demande intérieure est un élément majeur de la croissance de notre pays.
Je m'interroge d'ailleurs sur votre volonté de ne rendre cette disposition applicable qu'au 1er octobre prochain : après tout, lorsque, à la fin de l'année dernière, vous avez fait voter dans la loi de finances – nous l'avons vécu collectivement – une première hausse de la TVA, de 5,5 % à 7 %, cette mesure était applicable dès le 1er janvier ! La question du livre m'a amené à intervenir à plusieurs reprises dans cet hémicycle : il a fallu dépenser beaucoup d'énergie pour que cette mesure soit repoussée au 1er avril.