Et dans cinq ou dix ans, en effet, les entreprises de main-d'oeuvre industrielles qui auraient bénéficié de ces aides devraient les rembourser. La conséquence est connue : elles fermeraient leurs portes, elles licencieraient et elles délocaliseraient. Nous l'avons vécu avec le textile et nous ne voulons pas le revivre, monsieur de Courson. C'est la raison pour laquelle le Gouvernement maintient son avis défavorable concernant votre amendement. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe UMP.)