Tout a été dit, mais j'aurais été plus tenté de revenir de trois à deux ans. Déjà, à l'époque, j'avais expliqué qu'une telle disposition ne servait strictement à rien. Et de fait, elle n'a servi à rien du tout !
SI le fait de passer de deux à trois ans n'a servi à rien, je ne vois pas pourquoi nous passerions de trois à quatre ans. La réalité sur le terrain, c'est qu'en multipliant de telles mesures, nous allons à l'encontre de l'intérêt même des fonctionnaires.