À la suite de l'arrivée de Free sur le marché de la téléphonie mobile, vous avez affirmé que vous restiez serein et opposé au low cost. Mais, quelques jours après la parution des offres de forfait mobile de Free, vous avez lancé le forfait économique « Sosh », pour deux heures de communications téléphoniques par mois et SMS illimités, à 9,90 euros. Comment expliquez-vous ce revirement ?
Lors d'un entretien donné à BFM le 23 janvier dernier, vous avez évoqué la déception de certains nouveaux abonnés de Free mobile, qui déjà veulent revenir chez Orange. Quelle part du marché cela représente-t-il ?
Le contrat d'itinérance que vous avez conclu avec Free stipule que le réseau propre de cet opérateur doit couvrir 27 % du territoire comme condition lui permettant d'utiliser le vôtre pour les trois quarts restants. M. Xavier Niel nous a assuré remplir cette condition selon le constat établi par l'ARCEP. Ne pensez-vous pas que cet accord permet à Free de disposer d'un réseau aussi étendu et de même qualité que celui d'Orange pour un prix extrêmement raisonnable ?