Défavorable pour trois raisons. D'abord, il ne semble pas utile de faire référence à la directive européenne du 18 juin 1991 puisque, suivant la jurisprudence du Conseil d'État, les actes administratifs doivent nécessairement respecter les directives européennes.
Ensuite, la réécriture de l'alinéa 11 telle que la propose l'amendement apparaît très problématique car elle supprime la notion fondamentale de dangerosité.