J'ai noté ces deux affirmations : « Quand on est face à une médecine de catastrophe, mieux vaut utiliser les dispositifs éprouvés que des dispositifs nouveaux », « médecine de catastrophe » pouvant être traduit par « situation de crise », et : « Une contractualisation particulière serait-elle possible, notamment avec le monde libéral en de telles situations ? » Ce qui est frappant, c'est qu'on ait attendu de se trouver en situation de crise pour se poser la question, et uniquement parce que les médecins étaient mécontents du prix de l'acte et de la loi qui venait d'être adoptée. Ne conviendrait-il pas d'anticiper, à l'avenir, ce genre de situation ?