Pour conclure, je souhaiterais faire une dernière remarque à l'attention de notre rapporteur, afin de l'aider à exprimer l'idée qu'il a derrière la tête : ça lui fera du bien, et à nous aussi. Il est curieux qu'à aucun moment, M. Perruchot n'ait songé à interdire aux banques, comme il tente de l'interdire aux comités d'entreprise, de mener des campagnes de propagande en achetant des pages entières de journaux pour vanter la manière dont elles gèrent notre argent et enrichissent notre pays. On connaît pourtant la triste réalité en la matière !