J'en termine, monsieur le président.
Si, dans quelques jours, à partir du 6 février, les avions sont cloués au sol et si les clients sont victimes de ce mouvement, les seuls responsables de cette situation seront le Président sortant et l'UMP, qui auront sacrifié l'intérêt général pour une médiocre opération politique. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)