On n'imaginerait pas financer le ministère de la justice grâce aux paris en ligne, mais pour le sport, ça ne pose pas de problème : on y va sans complexe !
Lors de la dernière loi de finances, il a fallu se battre pour les sports. Cela n'a rien à voir avec tel ou tel ministre, il a toujours fallu se battre pour ces crédits, quelle que soit la personne en poste, parce que ce budget a toujours été considéré comme secondaire. Alors battons-nous plutôt que d'accepter que ce budget dépende demain des paris et des jeux. Ce ne serait vraiment pas une grande ambition.