Je veux répondre à la question de M. Dolez, ainsi qu'à celles de Mme Lebranchu et à celles que chacun peut se poser dans cette assemblée.
J'ai une petite expérience du centre éducatif fermé, car il se trouve que, dans le canton dont je suis l'élu depuis très longtemps, nous avons accepté d'en accueillir un, à un moment où personne ne savait trop ce dont il s'agissait : puisque personne ne voulait, dans le département, accueillir ce centre, je l'ai pris chez moi – il fallait bien une solution.