Comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire, il me semble que la méthode retenue n'est pas adaptée.
Je ne suis pas l'homme de la SARA, encore moins de Total. Mais lorsque, à une heure du matin, on propose une taxe sur la SARA sans évaluer les conséquences éventuelles de cette décision, je me demande si on a bien réfléchi.
Je prends mes responsabilités : s'il s'agit d'avoir une attitude purement électoraliste, je ne suis pas d'accord. J'irai plus loin : j'assumerai jusqu'au bout mes propos, quel que soit le résultat.
S'il s'agit, monsieur le secrétaire d'État, de taxer Total totalement, je peux l'admettre. En revanche, s'il s'agit, ce soir, de taxer la SARA immédiatement, je n'y suis pas favorable.