Défavorable.
Il y a, en effet, conflit d'intérêts. Les villes chefs-lieux demandent, elles aussi, à bénéficier prioritairement de ce fonds. Vous souhaitez que les zones très rurales soient prioritaires. Je ne suis pas opposé à l'idée qu'il y ait des priorités, mais il faut que nous en débattions.
Nous sommes solidaires de M. Lebreton s'agissant de ce qui s'est passé dans sa commune, et je lui ai assuré que l'État l'aiderait. Mais, quant à l'amendement, il nous faut déterminer qui doit être prioritaire : les grandes villes qui ont des difficultés, les zones rurales, les zones semi-rurales, les zones insulaires, les zones de montagne, les zones littorales ? À vouloir tout prioriser, on ne priorise plus rien !
(L'amendement n° 228 n'est pas adopté.)