Au nom de quoi ? D'une culture enfin gratuite, enfin libérée de ses chaînes, de son système économique ? Mais qui peut encore croire que ceux qui organisent le piratage à grande échelle le font par amour de l'art ?
Le piratage est aussi une économie : une économie parasite, qui monnaie l'audience des sites pirates à des annonceurs peu regardants.