L'amendement n° 24 n'est pas anodin. Il s'agit en effet de majorer le taux du prélèvement forfaitaire libératoire.
Cela ne parvient pas à rétablir l'égalité entre l'impôt sur le travail et l'impôt sur les revenus du capital. Nous aurions préféré, je le répète, que les revenus du capital soient intégrés à l'assiette de l'impôt sur le revenu, car le système du prélèvement forfaitaire libératoire reste plus favorable pour les contribuables assujettis aux dernières tranches
(L'amendement n° 24 est adopté.)