Je vous remercie de me donner la parole, madame la présidente : c'est la seule occasion dont je dispose de faire rebondir le débat sur le taux à 2,1 % sur la presse en ligne. Je reviendrai sur le livre lorsque j'aurai l'honneur de présenter le sous-amendement n° 88 à notre assemblée.
J'ai pris, dès la première lecture du projet de loi de finances pour 2012, l'initiative d'un amendement visant à ce que la presse en ligne bénéficie du taux super-réduit de 2,1 %, comme la presse imprimée. J'ai ensuite apporté mon soutien à la proposition de notre collègue Patrice Martin-Lalande en première lecture de la loi de finances rectificative pour 2011, dont nous effectuons la deuxième lecture. Ce faisant, j'ai successivement entendu trois réponses de Mme la ministre – la dernière étant celle qu'elle nous a faite il y a quelques instants –, et j'ai ainsi pu constater que son discours, évolutif, était de plus en plus favorable à l'idée d'un taux super-réduit de 2,1 %.