Je remercie M. Brard de me donner l'occasion de revenir sur cet événement majeur de la vie parlementaire française qu'a été cet amendement sur les gilets pare-balles et l'équipement des polices municipales, qui avait été demandé par les élus de France au ministre de l'intérieur.
Nous proposions de récupérer de la trésorerie non utilisée de crédits qui allaient être supprimés. Nous les avions pris sur quelque chose qui, symboliquement, vous a beaucoup fait rire…