La réforme fiscale dont ce pays avait besoin, c'est donc ce gouvernement et cette majorité qui l'ont menée et qui la compléteront avec le projet de loi de finances rectificative.
Le deuxième maître mot de notre politique fiscale est la compétitivité.
À cet égard, la différence entre majorité et opposition est très claire : notre politique fiscale, raisonnée, ciblée et équitable, préserve la croissance et renforce notre compétitivité. Bref, elle est tout le contraire du programme de hausse permanente des impôts voulu par l'opposition : si celle-ci commence par les augmenter de 30 milliards d'euros en l'espace d'une seule année, je n'ose imaginer le niveau de pression fiscale qui serait atteint en cinq ans. Je sais en revanche que le pays, lui, ne le supporterait pas, pas plus que notre économie et nos emplois !