Monsieur Gille, vous recherchez la forme la plus aboutie, qui est en effet l'entretien personnalisé de quarante-cinq minutes. Mais croyez-vous que ce soit en claquant des doigts et par le biais d'un texte que l'écart entre la situation actuelle – 8 500 organismes, la multiplicité des plateformes, l'incohérence totale – et ce que vous évoquez pourra être comblé ? Non. Ce texte est une première étape.
Quant à la commission Hirsch, elle traite uniquement du problème des jeunes, alors que nous balayons beaucoup plus large.
Vous avez parlé du Centre INFFO. Vous ne pouvez pas nier qu'il existe entre ce centre et l'ONISEP une complémentarité évidente.
Quand les acteurs « institutionnels » sont d'accord sur le principe – et je peux en témoigner pour avoir passé de longues heures à les auditionner –, pourquoi s'ingénier à démonter ce qui se met en place, même si c'est perfectible ?
(Les amendements identiques nos 90 et 166 ne sont pas adoptés.)