En effet.
Second garde-fou : nous souhaiterions que l'entreprise apporte la preuve que les emprunts qu'elle a contractés durant l'exercice n'étaient pas destinés à financer l'acquisition d'autres biens que les titres de participation visés par la mesure. En effet, supposez qu'une participation soit achetée et que la filiale française s'endette en même temps que le groupe augmente la participation d'emprunt ; elle peut s'endetter pour faire bien autre chose qu'acquérir les participations visées.
Ces deux garde-fous nous permettront d'être certains que l'on est face à une logique frauduleuse d'optimisation fiscale…