L'argument de la non-indexation des dépenses sociales, notamment les aides au logement, est pour le moins curieux. Pour justifier l'augmentation du nombre d'assujettis à l'impôt sur le revenu et son alourdissement pour tout le monde, on invoque la moindre évolution des prestations sociales. C'est la double peine !
Mais revenons à la décote. Nul besoin d'être agrégé de mathématiques ou de sortir d'HEC pour comprendre comment ça marche. C'est relativement simple.