…avec le résultat que l'on sait, à savoir l'engorgement des services d'urgence par des patients venant à l'hôpital parce qu'ils ne peuvent aller ailleurs. Sur ce point, notre logique s'oppose à la vôtre. Si un patient n'a pas les moyens de consulter un médecin de garde ayant bénéficié d'une revalorisation de ses honoraires, ce patient va se rendre à l'hôpital – disons « établissement public ou privé », puisque le mot « hôpital » n'a plus d'existence légale –, s'il a la chance de trouver encore un établissement près de chez lui ! Chacun comprendra l'importance, dans ces conditions, de demander l'avis des fédérations.
(L'amendement n° 78 est adopté.)