Je souhaite remercier Michel Raison d'avoir déposé ces amendements. Ce faisant, il prolonge la mesure que j'avais moi-même défendue sur ce même sujet il y a cinq ans.
Au vu des hochements de tête désespérés de notre président de la commission des finances, je tiens à souligner qu'il n'y a rien de déraisonnable en l'espèce : la mesure ne coûte rien, car la suppression de ce privilège n'aurait rien rapporté.
Je rejoins Frédéric Reiss pour considérer que chacun de nous a le droit, dès lors qu'il a des arbres fruitiers, de faire distiller les fruits, participant ainsi au maintien de nos traditions. Il nous faut ensemble défendre ces amendements.