Malheureusement, les procédures que j'avais mises en place à l'époque n'ont pas permis à tous ces praticiens de réussir les épreuves demandées. Posaient-elles des difficultés particulières par rapport à la pratique quotidienne ? Quoi qu'il en soit, les faits sont là : s'ils n'étaient pas de bons médecins, je ne vois pas pourquoi ils exerceraient dans ces établissements. Ils remplissent bien leur mission. Comme nous avons besoin aujourd'hui de valider les choses, nous proposons de supprimer cette date butoir qui inquiète autant les professionnels concernés que les hôpitaux.