Quand on sait travailler de façon un peu consensuelle en commission, on peut arriver à s'entendre et à avancer sur ce type de dossiers. S'il y avait eu un tel consensus pour la maison de l'histoire de France, nous n'en serions peut-être pas là.
L'échec, madame la ministre, c'est l'absence de démocratisation de la culture. Certains vont peut-être plus souvent au théâtre mais il n'y a pas eu de nouveaux publics. Voilà pourquoi ce que défendait tout à l'heure Marcel Rogemont à propos de la démocratisation de la culture me paraît indispensable, et j'espère que l'on en tiendra compte à l'avenir.