Non, ce n'est pas caricatural, mon cher collègue. Allez donc dans les établissements : au lieu de mettre le paquet sur ce dispositif, on s'est contenté de baisser très légèrement le nombre d'élèves par classe. Or, dans les pays qui font de l'éducation prioritaire un véritable outil d'égalité des chances, les effectifs sont notablement moins élevés dans ces classes que dans l'éducation dite normale.
Enfin, que dire de l'école maternelle, que vous avez totalement sacrifiée !