La sanction est arrivée dans les conditions que l'on sait et que l'on peut regretter, mais qui sont, je le répète, de son fait.
Nous pensons qu'il nous faut soutenir les efforts du Conseil national de transition. C'est difficile. Je ne connais pas de processus révolutionnaire qui, du jour au lendemain, aboutisse à stabiliser tranquillement la situation d'un pays qui n'a jamais connu la démocratie, mais notre devoir est de rester constant sur notre ligne et de continuer à aider la Libye. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)