M. Jospin aurait parfaitement pu s'y opposer et M. Védrine était ministre des affaires étrangères. Par conséquent, ne réinterprétez pas l'histoire à votre convenance.
Certes, nous avons depuis renforcé notre présence, mais nous engageons le retrait. Nous avons déjà retiré un premier contingent de 400 hommes. Nous attendons, dans les prochaines semaines, le transfert de responsabilités aux autorités afghanes dans la région de Surobi, ce qui permettra de retirer le quart de notre contingent, et nous allons continuer. Rien ne serait pire que de paniquer et de procéder à un retrait précipité d'un pays où…