L'attitude française à l'égard du processus d'entrée de la Turquie dans l'Union européenne et certaines prises de position intempestives nous paraissent creuser un écart regrettable avec un État qui affirme aujourd'hui une politique étrangère souvent proche de celle que nous défendions il y a quelques années et qui exerce d'autre part une influence forte dans l'ensemble du monde arabo-musulman.
En conclusion, je m'associe aux remarques de mon collègue Jean-Michel Boucheron pour souligner qu'il est appréciable d'entendre une voix gaulliste s'exprimer fréquemment au nom de la France,…