Avant de conclure, comment ne pas remercier Michel Françaix pour son rapport dynamique qui a, entre autres choses, bien mis en perspective les enjeux de la presse face à la révolution numérique. Je regrette vivement que n'ait pas été adopté l'amendement dont il était le premier cosignataire – Patrice Martin-Lalande ayant déposé un amendement comparable, comme quoi notre collègue ne dépose pas que de mauvais amendements ! – pour aligner le taux de la TVA sur la presse en ligne sur celui de la presse papier, soit à hauteur de 2,1 %. Les explications de la ministre du budget, Mme Valérie Pécresse, mériteraient d'ailleurs d'être relues tant elles sont savoureuses, si l'avenir de la presse dans notre pays n'était pas aussi sombre. Je laisserai à mon collègue Marcel Rogemont le soin de revenir plus longuement sur les questions relatives à la presse.